Toscano entendu par la PJ depuis 15h30

(Mise à jour)

Antonio Toscano, l’espagnol qui prétend connaitre le kidnappeur de Madeleine McCann est, depuis 15h30 (heure du Portugal), entendu par le Département d’Investigation Criminelle de la Police Judiciaire de Portimão. On ne sait pas sous quel statut juridique, Antonio Toscano est entendu.

Il est arrivé au Portugal ce matin, en provenance de Valencia (Espagne). Après son interrogatoire par la PJ, il prétend se déplacer à Praia da Luz pour s’entretenir avec les parents de Maddie, Gerry et Kate McCann.

La PJ attendait l’espagnol de pied ferme car ses déclarations à la presse n’on fait que déstabiliser une enquête déjà difficile.

Il n’y a pas l’habitude de tuer les enfants

Antonio Toscano, qui se annonce lui-même comme journaliste d’investigation, affirme connaître l’identité du kidnappeur de Maddie : un homme surnommé « Le Français », qu’il aurait rencontre quand infiltre dans un réseau pédophile, comme l’à affirmé hier, en conversation avec le journal portugais “24 Horas”.

L’espagnol à expliqué au « 24 Horas » ce qu’il dit avoir découvert en 45 jours d’investigation personnelle et affirme pouvoir garantir que Madeleine McCann est toujours en vie, retenue par son kidnappeur.

Après l’enlèvement de Madeleine, Antonio Toscano affirme avoir reçu un appel téléphonique que dénonçait “El Francês” comme étant l’auteur. « On l’a vu à Séville affirmant venir à Algarve, deux semaines avant le kidnapping” affirme l’espagnol.

Toscano va plus loin, le suspect, affirme, « travaille sur commande. Il est méticuleux et à plusieurs personnes qui travaillent avec lui ».

Il y a 11 ans, “El Francês » à été arrêté par les autorités espagnoles dans le cadre d’un dossier de pédophilie. Maintenant il est en liberté et « personne ne sait ou il se trouve depuis février ».

Pour expliquer ses affirmations concernant le fait que Madeleine serait toujours en vie, Antonio Toscano – toujours au « 24 Horas » - affirme que la petite serait toujours avec son kidnappeur – il conserve les enfants avec lui pendant le temps que les choses se calment. Dans les réseaux pédophiles internationaux – affirme Toscano – il n’y a pas l’habitude de tuer les enfants : « Un pédophile qui le fait est exclue car quand un enfant est mort la police ne le lâche plus ».

On attend beaucoup de l’interrogatoire d’Antonio Toscano par la police portugaise...

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